[Gilel][Humains][BLACK MARLINS]

Bah oui, on fait quoi ?

Ah une bonne vieille Waaagh, la meilleur entreprise de démolition au monde...Bon courage^^

Non, mais y font chier tout le monde ces orques, c'est pas vrai !!! En même temps, ils viennent peut-être pour faire du tourisme, les joueurs ont dû exagérer.....ou pas.



La suite !!! La suite !!!

Nicaudrom a écrit:Bah oui, on fait quoi ?

commencez par changer la porte, elle grince

Waagh ?!?

Ces joueurs ont baillé là ?! non ?  

Marcel - Bernard ! t'es viré !
Bernard- Bah pourquoi ?
Marcel- vois ça avec Goss ! Il m'a dit de changer Laporte ! t'es viré !
Bernard- mais pourquoi ?
Marcel- Oh arrête de grincer, c'est un support table !
Bernard- tu veux dire un tréteau ?
Marcel- désolé il est trop tard !
Bernard- j'suis viré alors ?
Marcel- bah t'as compris  ! ce n'est pas trop tôt !
Bernard- Et Gilel, il reste ?
Marcel- J'en sais rien, je ne connais pas la fin !


Gilel ! j'ai sommeil , mais je veux connaitre la faim avant d'aller me coucher !

Gilou

Je craque  ! j'ai craqué ! trois tablettes de chocolat !!!
:hola:Gilel fait nous encore rêver !

- Bon sang Coach, à quoi peut bien servir tout ça ?
- Dans le cas où le Blood Bowl serait devenu un peu moins fair play !


Cris Edrobal fit entrer le reste de l'équipe et sans attendre, tels des enfants, ils se ruèrent sur les objets de destruction sélective.
Gilel passa une épée au côté, plaça une hache de lancé dans un étui collé à son dos, et s'arma d'une hache à deux mains de belle facture et de surtout d'une taille respectable. Ses joueurs s'équipèrent joyeusement , casques et épaulières se couvrant également de piques plus ou moins longues, mais toujours acérées.

Blanc'Oh se tourna vers les joueurs et leva son épée :
- AUPA  MARLINS !
- AUPA répondirent les hommes en cœur .

                                                                                              [A suivre]

Une bonne bataille, y'a pas mieux comme entraînement.

Big Mikowsky a écrit:

Une bonne bataille, y'a pas mieux comme entraînement.

Et cela permet d'éliminer à moindre frais les joueurs les plus faibles.

Baaaaastooooon !
Mais de frêles petites choses humaines face à la puissance orc... J'ai peur pour les :Marlins:

faudrait peut être appeler les Ikurina Skulls en renfort non ?

Mais ils renforceraient quel côté ?

Hum, j'apprécie, je vois que certains sont des historiens de l'épopée des Marlins .

- Bon sang, se dit Gilel, s'ils avaient pu avoir une telle coordination durant les derniers matchs de la saison ...
[A suivre]

Y'avait pas Barb de Fer dans le coin. Coacher une équipe de gobs pour la coupe de du GAG, ne l'occupera pas assez pendant l'inter saison.

Et puis quoi de mieux qu'un match de Blood Bowl pour un orque ? Un pillage en règle bien sur. A moins que ce soit une équipe de BB orque sans coach, qui vient enlever Gilel.

La suite, la suite !!!

On risque de pouvoir recruter en tout cas

c'est rien, pas de panique, c'est juste les Piratz qui viennent boire à verre à Luzean....

La troupe hétéroclite fit irruption sur une place battue par le vent et la pluie. Le temps sembla s'arrêter lorsque de l'autre coté de la place débouchèrent des orques vociférants et hurlants. Après s'être jaugés quelques instants les deux masses se ruèrent l'une vers l'autre pour ne plus former qu'un ballet chaotique de corps s'affrontant dans des duels frénétiques. Les premiers cadavres vinrent rougir les pavés de la place . Toutefois, plus nombreux, les humains prirent l'ascendant ne laissant aucun sang vert quitter les lieux intacts.
Gilel avait les mains qui lui faisaient mal à force d'avoir serré ses doigts sur le manche de sa hache. Il n'avait pas la condition physique de ses joueurs. Il fit le tour des survivants et constata que tous ses joueurs semblaient vivants et peu ou plus en bonne santé, même si certains étaient éclaboussés de sang. Rien de bien extraordinaire finalement pour un joueur de Blood Bowl.
La pluie se chargeait de laver les armures et les pavés en rigoles sanglantes.
Tout d'un coup , un cri déchirant de femme s'éleva d'une maison partiellement en flammes, puis mourut dans un étranglement horrifié. Mr T Lacroix, se précipita l'épée levée dans la masure suivi d'un de ses coéquipiers.
Dans un fracas de tous les diables, le premier étage s'écroula faisant disparaitre les deux Marlins à la vue de leurs compagnons. Blanc'oh retint Gilel par la manche. En effet, il ne servait à rien de perdre de nouveaux compagnons.
Les clameurs de la bataille semblaient s'éloigner ou alors était ce le vent et le tonnerre qui surpassaient les effets des combats ?
Gilel sépara sa troupe. Le capitaine Harry Gnordoky prit une partie des hommes avec lui et s'élança en direction de l'hôtel du prévôt. A la suite de Blanc'oh le reste des humains s'apprêta à quitter la place pour s'enfoncer dans les ruelles quand des claquements de sabots se rapprochèrent à vive allure. Interdit, les hommes regardèrent passer une cheval surmonté d'un cavalier droit comme un "i" monté sur des étriers d'argent. Sauf que le "i" avait perdu son point; en effet, le cavalier sans tête passa fièrement devant les Marlins atterrés pour s'éloigner vers le Port. Même tête coupé, le Prévôt avait toujours fière allure ... certains mauvaises langues auraient pu dire qu'il ressemblait plus à un poulet, mais toujours est il que la place était libre pour tout nouveau candidat qui serait encore en vie à la fin de cette nuit cauchemardesque.


                                                                                                         [A suivre ]

 

Déjà 2 Marlins en moins. Mais comment va être l'équipe pour la saison 2513 ? Modifiée peut-être....

La suite, La suite  

Tim Burton like this  

Il était temps de quitter la place. Laissant derrière eux la maison qui brulait, les survivants se ruèrent à travers une venelle. Gilel fut dépassé par l'un de ses joueurs arborant fièrement un oriflamme aux couleurs des Marlins.
La course effrénée des survivants fut stoppée net . Au sortir de la venelle se tenait une barricade qui barrait de son ombre gigantesque la rue qu'ils venaient d'emprunter. Soudain se découpant dans la lueur des incendies en provenance du bas de la ville un gobelin se hissa au sommet de la barricade. Il tira la langue aux humains et se mit à danser une gigue grotesque en narguant les marlins et les hommes qui les accompagnaient.
Un sifflement passa près de l'oreille de Gilel. Il n'eut pas le temps de détourner le regard du gob que celui ci fut cloué à la barricade par l'oriflamme des Marlins telle une mouche sur un fut de bière vide. Les humains poussèrent un hurlement de joie qui se finit en cri d'effroi quand le ciel s'obscurcit de traits sifflant.
Dans un staccato de bois brisé une myriade de flèches s'abattit dans la rue provoquant un jet de panique parmi les humains. Gilel resta interdit pendant que les flèches redoublaient et que les cris des blessés et les râles des mourants se faisaient entendre.
Il entendit le cri de Blanc'oh et fut jeté à terre par une ombre soudaine. Il entendit le choc de plusieurs flèches sur un écu que l'on avait passé en travers de son corps pour le protéger.
- Bon sang, ne restez pas au milieu de la rue ! Ca fait un bail qu'ils nous arrosent comme ça sans que l'on puisse avancer !
Ecartant le soldat du guet qui venait pourtant de lui sauver la vie , Gilel se rua vers Blanc'oh dont un carreau de flèche était fiché dans la jambe. Il vit ce dernier briser l'empennage de la flèche en voulant la retirer . Gilel arrêta son geste.
- Laisse la pointe, on va la faire enlever par le doc, si elle a touché une artère et que tu l'enlèves tu vas te vider comme un porc à la fête de la Saint Jean.
- Ouais, mais ça fait maaaal , bordel.
- Dites quand vous aurez fini de papoter on pourrait peut être se casser de là non ?

Gilel leva la tête et se rendit compte que plusieurs soldats du guet dont certains ne respiraient pas la grande forme avait fait un paravent avec leurs boucliers pendant que l'on évacuait les blessés de la rue sombre.
Laissant plusieurs corps derrière eux, les humains s'engouffrèrent dans les maisons adjacentes.

Un sergent du guet s'approcha de Gilel :
- On en peut pas avancer, ces c...rds de gob nous bouchent la rue, j'ai déjà perdu une patrouille presque  entière en voulant emporter la barricade .
- Il faut passer par les ailes ! s'écria Gilel.
- Pardon ?
- On va passer de maisons en maisons et on prendra les gobs à revers. Auriez vous deux ou trois archers histoire de les occuper un moment ?
- Yohann, Pirlouit , venez ici les gonzes. ... Ouais avec vos arbalètes évidemment. Tirez moi sur tous les gobs qui passeront leur nez sur la barricade pour piller les morts , ça va les occuper, ces vermines.
- Blanc'oh, reste là, tu n'es pas en état de nous suivre. Je te laisse un ou deux gars avec toi; de toute façon ils ne sont pas vraiment plus en forme que toi.
- Mouais, mais fais gaffe quand même.

Les survivants dont le nombre s'amenuisait, suivis des quelques soldats du guet de la patrouille de Roht (le sergent) , brisant les portes des maisons, avançaient par sauts de puce de maisons en masures.
Soudain l'un des soldats lancé en éclaireur revint vers le groupe.
- On va pouvoir les contourner en sortant par l'une des fenêtres de la dernière maison.
- Ok les gars, 30 secondes de repos et on y va .
- Taiiaut !

Les humains se ruèrent sur les arrières des gobs : ce fut une boucherie. Frappant de taille et d'estoc, fendant de la hache, piquant de la hallebarde, les humains pourfendirent les corps maigrelets des gobelins. Ces derniers voulurent tourner les talons, mais ils se retrouvèrent acculés à la barricade. Pourtant la peur donnant des ailes, trois gobelins parvinrent au sommet de la barricade ; deux furent fauchés par un carreaux d'arbalète et le troisième au prix d'un superbe vol plané s'élança dans la venelle .
Un choc et un cri plus tard, l'un des soldats du guet resté en couverture hurla :
- on le tient ! Enfin si je ne l'ai pas tapé trop fort !

Gilel se retourna : le port était un immense brasier. Les orques avaient mis le feu aux embarcations à quai mais l'incendie avait gagné leur propre bateau et on voyait des corps en flammes se jeter dans le port. Pourtant loin de les achever, certains corps une fois le feu éteint gagnaient le bord à la nage et se hissaient sur le quai, qui le couteau, qui la hache de lancer ou la dague entre les dents. Les chairs brulées, grésillaient encore mais les orques ne semblaient pas ressentir de douleurs.

- Il faut  les rejeter à la baille !
Les humains se ruèrent sur les orques et en culbutèrent plusieurs dans le port, les corps lacérés de nombreux coups. Toutefois, le nombre allait finir par jouer contre les humains, surtout que les orques semblaient refluer vers le port sans doute pourchassés par d'autres survivants du raid.

Alors que Gilel tentait de retirer sa hache du corps d'un orque qui vomissait du sang en se tenant les tripes, il sentit plus qu'il ne vit une épée courbe siffler en direction de sa tête ...

                                                                         [A suivre ]

la suite s'il te plait !   la suite....